L'amazone,
souvenir d'antan, que j'ai connu,
cette fille au caractère trempé cette femme féminine jusqu'au bouts des ongles comme j'en ai aimé certainement un jour, hier.
Je ne la connais pas, elle me connait pas et pourtant, comme ca, elle m'a donné ce sentiment, celui d'être écouté, bercé, m'enveloppant de cette douceur, si féminine, juste un pti coin où elle seule me permet de me blottir moi, l'homme étranger. Suis-je égoïste ?
Deux êtres avec leurs différences, leurs parcours. Comme deux étrangers certes mais où flotte dans cet atmosphère un doux et subtil parfum de sentiers parcourus ensemble par la pensée.
Entêtements palpitants sans interdits. Elle est une femme épanouie, à sa vie, sa famille, ses envies, son destin, ses amours. Et pourtant, elle se donne à moi par ses mots comme une maitresse à son amant.
Je ne cherche point à la séduire. Toujours est-il qu'un sourire s'affiche à mes lèvres à l'idée que, peut-être, j'aurais pu faire un bout de chemin avec elle, un jour, ailleurs, sur un astre autre que celui-çi.
Il semblerait que Plus je vieillis et plus je crois comprendre, plus sûr je deviens et ou pense le devenir détenant ce que je pense détenir.
Il est certain, que plus j'avance comme tant d'autres avant moi, et plus je sais.. que je n'aurais jamais réellement les clefs pour enfin y arriver.